Le chercheur Josef Dobrowolski de l'université en sciences de Varsovie est l'auteur d'une étude dont les résultats vont secouer la communauté scientifique mondiale. En effet, l'étude qui a duré 7 ans répond à une énigme qui taraude les chercheurs depuis longtemps.
Depuis des décennies, les scientifiques du monde entier s'arrachent les cheveux pour comprendre pourquoi les chauffages à bain d'huile ou autre chauffage électriques sont utilisés en hiver et pas du tout en été.
Des raisons avaient été avancées pour tenter de fournir une explication à ce mystère, deux grandes tendances chez les spécialistes se détachaient :
D'abord ceux qui pensaient que la grande famille des radiateurs étaient un peu comme certains animaux qui hibernent pendant une partie de l'année. De nombreux scientifiques évoquaient un phénomène naturel chez les radiateurs les poussant vers une période d'hibernation de plusieurs mois avant de reprendre une vie active à l'approche de l'automne et surtout, de l'hiver
Ensuite, d'autres scientifiques parlaient de conflits sociaux récurrents dans cette communauté ou de volonté manifeste de faire chier les êtres humains. Cette dernière hypothèse perdait au fil des années un peu de crédibilité au profit de l'hibernation.
Grâce au professeur Dobrowolski c'est désormais une certitude, aucune de ces deux tendances n'est fondée.
Le professeur et une équipe de scientifiques de l'université de Varsovie ont observé des polonais dans leurs vies quotidiennes, ont pris des notes, établis des statistiques et des associations pour en arriver à la conclusion que les radiateurs servent à rehausser la température ambiante.
Le résultat de cette étude apporte de nouvelles connaissances aux scientifiques et démontre que d'une part les températures en hiver ont tendance à chuter et que les radiateurs permettraient d'y remédier, et que d'autre part les chauffages n'auraient pas d'utilité en été puisque les températures sont très élevées.
Le professeur et son équipe pourraient bien être récompensés pour cette découverte exceptionnelle.