Les législatives viennent de se terminer et le résultat est sans appel. Les français ont fait barrage au retour du nazisme et des fours crématoires en votant massivement pour le NFP. Partant de ce postulat, le chef de l'Etat recherche activement un candidat pour succéder à Gabriel Attal, mais pas n'importe lequel puisqu'il s'agit d'un castor.
La France est forte dans le domaine des barrages mais ses habitants aussi. C'est le message envoyé par le peuple : "on veut un castor ! on veut un castor !".
Le message a été entendu par le président. Depuis lundi au petit matin, des centaines de castor stationnent devant l'Elysée pour leur entretien d'embauche. La sélection sera dure, le castor choisi devra être impeccable.
Et quels sont ces critères nous demanderez-vous avec la bave aux lèvres ? Et bien, tout d'abord, il faut être un castor, nés de parents castors eux-mêmes. Les trans qui souhaitent devenir des castors ne sont pas admis.
Une fois que l'état de castor sera vérifié notamment grâce à la présence de deux dents devant, il faudra prouver que l'on aime les barrages, et que l'on a déjà fait des barrages.
C'est le président de la République et son épouse Brigitte Macron qui feront passer les entretiens. Devant le nombre de candidats, Brigitte Macron a souhaité mettre en place une épreuve supplémentaire : Les castors devront chercher deux boules (et les saisir avec les dents) sur la femme du président. A notre question "est-ce que cela peut-être douloureux ?" Le palais de l'Elysée répond "oui, sans doute, mais le service médical est juste à côté".
Nous voila rassurés, en tous cas, on ne sait pas vraiment comment cette épreuve va se dérouler...