Nouvelle exigence du président Ukrainien : le matériel militaire ne suffit plus, les chars et les avions ne servent plus à rien pour amadouer l'ogre russe. Les ukrainiens adoptent une nouvelle stratégie et demandent que le président Macron envoie Brigitte en Ukraine, avec ou sans pièces jaunes. Reportage.

En Ukraine, toute la population ne parle désormais que de la dernière demande faite à la France par le président Zelensky. "Si vous nous aimez, si nous sommes votre seule préoccupation dans la vie, alors vous devez consentir à nous donner votre bien le plus précieux, Brigitte. Seule Brigitte a le pouvoir d'arrêter l'ogre russe". affirme Volodymyr Zelensky en direct du festival de la charentaise à l'orteil en Valois.

La demande du président ukrainien peut sembler étrange mais se fonde en réalité sur une étude des pathologies du peuple russe et de son président Poutine. D'après cette étude, Brigitte Macron est ce qui effraie le plus les russes avant même l'eau plate et l'eau gazeuse. On murmure que Vladimir Poutine aurait des sueurs froides à l'idée de rencontrer Brigitte Macron qu'il considérerait comme une arme de destruction massive. 

Cette psychose du président russe en particulier tient au fait que Brigitte lui rappelle une institutrice lors de ses années de collège. Mme Yechiska, institutrice avait le pouvoir de terrifier le jeune Poutine. 

 

Les débuts de la psychose

 

C'est en 1958 à Saint Petersbourg que je jeune Vladimir rencontre pour la première fois son institutrice alors âgée de 89 ans. Mme Yechiska arrive toujours le matin avec des morceaux de draps, qui lui serviront de couches car elle est incontinente. Toutes les heures environ, Mme Yechiska doit être changée, et ce sont les jeunes écoliers qui s'occupent de la tâche.

De plus, l'institutrice a du poil aux pattes, un poil assez long qui permet facilement de faire des mise en plis. . Quand le soleil se lève dans la petite salle de classe, Vladimir a l'impression de voir une araignée accrochée au tableau, ce souvenir effrayant, reste gravé dans sa mémoire. 

 

Divergence alimentaire

 

Un autre aspect de l'institutrice déplaît à Vladimir Poutine, c'est sa conduite à la cantine. L'institutrice surveille les enfants et leur alimentation mais voilà, il y a un désaccord profond avec le choix du petit Vladimir. Celui qui allait devenir le président russe est un garçon un peu fleur bleue et délicat, il aime la poésie, les oiseaux et le maquillage. Il se demande souvent s'il est un garçon, une fille, une casserole ou une courgette. Il était déjà très touché par l'idéologie LGBTQIA+++++ qui n'existait pas encore. Son identité n'est pas encore forgée et il est empreint de doutes sur le sujet alimentaire. 

Faut il manger ou boire ? Doit on manger du riz cru ou cuit ? Faut il manger Mme Yechiska pour qu'elle arrête de m'emmerder ?

Voilà les questions que se posent le jeune Vladimir qui subissait les assauts de son institutrice hurlant à la mort "mange un steak ! mange un steak !". Il la revoie encore plonger ses gros doigts poilus dans son assiette, entre deux incontinences.

Brigitte Macron ressemble étrangement à Mme Yechiska, à tel point qu'en Russie on se demande si la première dame française ne serait pas âgée d'environ 160 ans.

Pour finir, notons qu'à l'Élysée on s'apprête a donner Brigitte Macron à l'Ukraine. Le président français est persuadé que pour éviter un contact, le président russe accepterait d'arrêter le conflit et de retourner à l'école primaire.

Nous verrons bien...